Rappel du premier message :

Bonjour à tous !

Dans la vie, j’ai plusieurs passion, l’astrologie en est une, mais la peinture, l’art, ainsi que l’histoire en sont d’autre.

Ça fait un moment que j’examine des thèmes d’artistes, et je trouvais ça un peut dommage de ne pas vous faire partager mes trouvailles. Vous pouvez également y participer, soit en examinant le thème astral d’un artiste, soit en commentant, et enrichissant l’analyse.

Je mets ici un cadre, juste pour garder de la cohérence dans ce poste. Ici c’est plutôt un poste sur les artistes visuelles (peintre, aquarelliste, photographe, plasticien etc..) tout simplement pour voir les aspects qui « fond » l’artiste. (Les aspects sont différés par exemple pour les artistes musiciens, les acteurs ect).

Petite exemption en revanche pour les « multitâches » comme Léonard de Vinci (qui était aussi ingénieur, musiciens, architecte, médecins ect) ou encore des personnes qui désirait à la base s’orienter dans une carrière artistique (Adolphe Hitler, Kurt Cobain …), je trouve que ce serait également intéressent d’examiner leur thème sur ce poste.

La deuxième chose, est qu’ici on ne traitera que d’artiste masculin, car en parallèle, j’ai créé un poste spécialement pour les artistes féminines

=> https://www.astro-ciel.com/t22155-theme-astral-artistes-femme#501625

J’espère que ce poste vous plaira autant que ce sujet me passionne !

Giacometti : Conj exacte Vénus-Mars semi-carré Saturne a à peine 1° d'orbe pour l'ascétisme.

Personnellement, je pense que l'oeuvre ascétique de Giacometti semble liée à la Shoah, il n'y a plus de forme et donc plus de lumière, c'est presque l'opposé de Vermeer, ou presque le grand vide, il ne reste plus que le squelette, fin de la volupté de la lumière qui exprimait la profondeur des choses à leur surface.
Je vois les mêmes images que celles filmées lors de la libération des camps de concentration.

lydie55 a écrit:

Jean-François Millet (prononcé [mi'lɛ], Mi-lè), né le 4 octobre 1814 au hameau de Gruchy et mort le 20 janvier 1875 à Barbizon, est un artiste-peintre réaliste, pastelliste, graveur et dessinateur français du xixe siècle, l’un des fondateurs de l’école de Barbizon. Il est célèbre notamment pour ses scènes champêtres et paysannes (source Wikipédia).



Près de chez moi, Jean François Millet, j'aurais pensé que son thème aurait été plus marqué par le taureau
Amas en maison 5 venus en vierge, mise en scène de la vie quotidienne

L'angélus...doit avoir été dans le top 10 des oeuvres les plus reproduites et les plus populaires à certaines époques (cela sans doute en lien à cette à l'ascendant du thème de Millet)...perso, il m'a toujours suivie (un peu malgré moi...) ce tableau, il faisait partie de la déco (un peu subie...) de ma chambre d'ado et je l'ai encore maintenant en format de poche sur l'un de mes murs..."L'angélus", son nom me parle aussi vu que j'habitais à côté d'un clocher qui nous servait beaucoup de repère...la musique des cloches de ce clocher aux heures de l'angélus...fait vraiment partie de la "bande son" de mon enfance...

Oui la en et le en lien à la 6 (en fin de chaîne par le système des maîtrises) de Jean-François Millet...sont sans doute à l'origine de l'ambiance laborieuse/"réaliste" et recueillie/silencieuse ( ) de l'angélus et des glaneuses (ses oeuvres les plus connues et les seules de lui que je connaisse)...

Le voilà en photo, Jean-François Millet :



https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Fran%C3%A7ois_Millet

https://fr.m.wikisource.org/wiki/Jean-Fran%C3%A7ois_Millet

Citation :

Dans cette humble famille, il y avait une figure centrale et dominante : Millet eut toujours une tendre vénération pour sa grand’mère, et elle exerça une grande influence sur sa vie. Louise Jumelin était une femme supérieure, « une mère en Israël »

Citation :

Millet déclarait que ces légendes, dont on avait bercé son enfance, lui avaient laissé une profonde impression, lui étaient restées à jamais dans l’esprit : « Aujourd’hui encore, disait-il, je sais à peine si j’y crois ou n’y crois pas. »

Citation :

Il peignait rarement d’après le modèle, paraît-il, et ne lui demandait que des renseignemens de détail ; il peignait rarement aussi d’après nature ; il se contentait de noter ses impressions, et tout papier lui était bon pour cela, après quoi, rentré dans l’atelier, grâce à sa tenace mémoire et à sa puissante faculté de vision, son tableau lui apparaissait, et ses tableaux étaient toujours des évocations. Loin des yeux, dit-on, loin du cœur. Cela n’est vrai que des sentimens médiocres, des tendresses à fleur de peau. En s’éloignant de ce qu’on aime, on se procure le plaisir d’en rêver, la passion s’exalte, et l’étoffe de la nature est brodée par l’imagination. Il y a toujours dans le souvenir une part d’illusion ; il agrandit, il amplifie, il complète, et on est bien à Barbizon pour revoir Gruchy en songe. Millet fut-il un réaliste ou un idéaliste ? On l’aura défini, je crois, si l’on dit qu’à l’observation précise, minutieuse et à l’amour des vérités crues, il joignit le mystère et l’idéalisme du souvenir.

https://peinturehistoireechangerparler.wordpress.com/2022/06/09/jean-francois-millet/

Citation :

Des peintures qui le classent dans le courant réaliste, glorifiant l’esthétique de la paysannerie. Il proclame son goût de l’humain : ‘’c’est le côté humain, franchement humain qui me touche le plus en art…’’.

Millet détestait la ville et le monde urbain en général. C’était un solitaire, et il aimait particulièrement l’hiver à Barbizon, période où la ville se vidait de ses habitants retournés à Paris.

Citation :

Sa vision réaliste de la condition paysanne effrayait les classes dirigeantes, qui croyaient y voir un encouragement à la révolte. Si les figures paysannes de Jean-François Millet suscitent l’enthousiasme des républicains, l’artiste se défend d’un quelconque message politique ou idéologique de ses œuvres.

Ses tableaux, celui-ci et de nombreux autres, pourraient se résumer à un geste et à des couleurs. Chaque geste est étudié, précisé, et ainsi Millet restitue sur la toile les correspondances qui lient les tâches effectuées avec les positions du corps et les expressions du visage

Pallas a 7° du Taureau, Cérès a 24° des Gémeaux.

TN:

Joc a écrit:

lydie55 a écrit:

Jean-François Millet (prononcé [mi'lɛ], Mi-lè), né le 4 octobre 1814 au hameau de Gruchy et mort le 20 janvier 1875 à Barbizon, est un artiste-peintre réaliste, pastelliste, graveur et dessinateur français du xixe siècle, l’un des fondateurs de l’école de Barbizon. Il est célèbre notamment pour ses scènes champêtres et paysannes (source Wikipédia).



Près de chez moi, Jean François Millet, j'aurais pensé que son thème aurait été plus marqué par le taureau
Amas en maison 5 venus en vierge, mise en scène de la vie quotidienne

L'angélus...doit avoir été dans le top 10 des oeuvres les plus reproduites et les plus populaires à certaines époques (cela sans doute en lien à cette à l'ascendant du thème de Millet)...perso, il m'a toujours suivie (un peu malgré moi...) ce tableau, il faisait partie de la déco (un peu subie...) de ma chambre d'ado et je l'ai encore maintenant en format de poche sur l'un de mes murs..."L'angélus", son nom me parle aussi vu que j'habitais à côté d'un clocher qui nous servait beaucoup de repère...la musique des cloches de ce clocher aux heures de l'angélus...fait vraiment partie de la "bande son" de mon enfance...

Oui la en et le en lien à la 6 (en fin de chaîne par le système des maîtrises) de Jean-François Millet...sont sans doute à l'origine de l'ambiance laborieuse/"réaliste" et recueillie/silencieuse ( ) de l'angélus et des glaneuses (ses oeuvres les plus connues et les seules de lui que je connaisse)...

Le voilà en photo, Jean-François Millet :



https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Fran%C3%A7ois_Millet

Hier, j'ai oublié de noter la présence de la RM (mtre d'ascendant) en 6 en 5 (en "fin de chaîne" par le système des maîtrises) dans le thème de Jean-François Millet. RM directement en lien à l'expres​sion( ) artistique ( )...et peut-être aussi à l'excellente mémoire photographique attribuée à JFMillet, il parait que Millet peignait ses scènes champêtres dans son atelier en se servant du souvenir qu'il avait de la scène qu'il voulait peindre, qu'il n'avait pas besoin d'avoir la scène face à lui pour la peindre.

Quand les architectes étaient des jolis aquarellistes.

Emile Bénard (sacrées ombres portées, toute une géométrie)



Jean-Louis Pascal



Adrien Chancel