Au revooooooooaaaaaaaaaaaar !

@ladom
Pour le nucléaire? Merci Pompidou! En effet, la décision de lancer le programme nucléaire civil français a été prise par le gouvernement Messmer quelques semaines avant la mort de Pompidou(mais VGE n'est pas complètement étranger à l'affaire puisqu'en tant que ministre d'état chargé des finances, il était surement impliqué dans la décision finale vu l'investissement envisagé... et il n'a pas remis en cause ce programme une fois élu président).

Sinon, y'a un aspect qui ressort dans son thème, c'est son ... ça résume presque tout le personnage!

pie-loup a écrit:

@ladom
Pour le nucléaire? Merci Pompidou! En effet, la décision de lancer le programme nucléaire civil français a été prise par le gouvernement Messmer quelques semaines avant la mort de Pompidou(mais VGE n'est pas complètement étranger à l'affaire puisqu'en tant que ministre d'état chargé des finances, il était surement impliqué dans la décision finale vu l'investissement envisagé... et il n'a pas remis en cause ce programme une fois élu président).

Sinon, y'a un aspect qui ressort dans son thème, c'est son ... ça résume presque tout le personnage!

oui, enfin pour le nucléaire, c'était déjà à l'œuvre du temps de de Gaulle !

Certes mais le gros coup d'accélérateur a eu lieu en mars 1974(dans un contexte de crise énergétique suite à la guerre de Kippour quelques mois plus tôt).
Et pour retomber sur nos pattes, VGE était déjà ministre des finances du temps de De Gaulle !

pie-loup a écrit:

Sinon, y'a un aspect qui ressort dans son thème, c'est son ... ça résume presque tout le personnage!

c'est à dire ? ....
pour ce verseau d'avant-garde ? ....

Déjà, c'est un aspect qu'il avait en commun avec notre président(dans le cas de Macron, en et uranus en ).
Beaucoup d'énergie, d'individualisme, d'impulsivité(je ne suis pas sûr que la fin de sa dernière allocution en tant que président était complètement pensée), de besoin de liberté(rien que ce mot mériterait un développement entier concernant l'action politique et éco de VGE), de montrer qu'il existe sur la scène politique, d'impatience(plus jeune président français... jusqu'à Macron)

C'est l'excentricité( ) en action( ) donc ça donne des initiatives du genre je dine chez l'habitant, j'adresse mes voeux aux français avec mon épouse, je modernise le protocole...
Ensuite, il y a un côté hyper cérébral( ) qui a pu aller jusqu'au manque d'empathie, manque d'humanité malgré une vraie volonté réformatrice( ) et ce n'est pas son qui a dû arranger ça!

Enfin, je sens un décalage entre ce en très actif, sportif(il adorait les parties de chasse), désireux de réformer vite et ce en qui fait penser à un lanceur d'alerte(attention à l'inflation!) qui ne sera ni écouté ni reconnu tout de suite mais dont on reconnait sur le tard la justesse de ses mises en garde

Encore un président avec l'axe des nœuds en /.
Il y en a un certain nombre statistiquement dans la Vième.
VGE, Mitterrand, Sarkozy, Hollande. 4/ 8 cela fait du 1/2 contre 1/6 d'équiprobabilité, soit 3 fois plus.
Fillon a raté le coche de peu si il n'avait pas eu cette affaire sortie au bon moment, cela aurait fait 5/8 parce qu'en fait, Emmanuel Macron c'était le candidat des libéraux des Républicains après la défaite de Juppé aux primaires (encore un axe des nœuds /).

Encore quelques mots au sujet de .
On peut y voir de l'indépendance d'action, ce n'est pas quelqu'un sous influence. Mais cette action n'est pas forcément comprise par ses contempteurs. L'action uranienne était ici au service de valeurs humanistes plus (droit de vote à 18 ans, avortement... il n'est pas allé jusqu'à d'abolir la peine de mort, faut pas pousser!)
Autre effet de cette dominante en sur le avec , le refus d'accepter l'idée d'avoir tort(même travers chez Macron) et donc d'accepter la défaite(il n'a jamais sérieusement envisagé la défaite en 1981), refus d'accepter la rivalité(Chirac en savait quelque chose), aucune remise en question même à l'épreuve des faits, certitude d'être le plus fort ou le meilleur dans son domaine(il ne le cachait même pas dans ses débats avec Mitterrand), refus du duel(il a pourtant bien fallu s'y plier en 1974 et 1981) et une originalité qui peut virer au grotesque(jusqu'à ses derniers mots de président avec l'ambiance d'enterrement qui a été tourné en ridicule à l'infini)