J'aime pas trop
Bruel.
C'est physique. Sa voix "cassée", son regard fuyant, biaisant. Mielleux, sirupeux, adipeux... bon, j'exagère un peu mais quand même... Avec ses yeux de phoque battus en neige où on peut peut-être lire l'absence du père, du fifi couvé par sa daronne...? (ce qui doit, en plus de sa carte bleue, faire "mouiller" les sagouines

).
Même sa chanson, peut-être la plus connue, "qui a le droit", la mélodie est quasi intégralement pompée sur "je suis un homme" de Polnareff (pour ça que tout le monde l'a tout de suite dans l'oreille) MAIS...
Quand même...
J'm'étonne "à peine" qu'une fois encore le monde féminin, bien tapi dans l'ombre, jusque là, d'une fois se déchaîne, comme ça, comme à la volée. Comme ça semble naturel et spontanné! Des années lumières plus tard...
c'est vrai qu'aujourd'hui,
meetoo oblige, les vannes sont grandes ouvertes et le monde est aux PN, venus des US, répartis un peu partout...
Des années de soumission à venger... ?
Qu'il ait sans doute voulu abuser de sa réputation de bellâtre, c'est vraisemblable... L'être humain lambda (vaguement évolué et encore faut voir) encensé à tort et à travers finit par se prendre pour un génie à qui rien ne résiste... (il y a des femmes "fatales" aussi...)
C'est de la faute à un
hubris galopant, certes mais aussi à tout ce cortège de midinettes décérébrées et victimes de "la mode" qui l'ont alimenté durant si longtemps.
Les otaries sont lâchées. Des années de silence qu'il faut pousser à la lumière. La grande déferlante tous azimuts, pour la rédémption des "machos" qui se la jouaient un peu trop "Johnny Weismuller"... Va aussi falloir trouver des boucs émissaires, on le sent à plein nez. Le déboulonnement et le lâchage de quelques idoles est à ce prix et devrait permettre à la meute de se faire les dents momentanément.
Je ne sais pas mais j'ai l'impression que tout a été encore grossi en épingle par deux, trois mijaurées qui recherchent elles aussi leur quart d'heure de Voici et de célébrité. Si ça peut rapporter des piastres en plus...
Par contre, pour l'affaire
Eipstein, si on se rapproche un peu trop du soleil, en allant creuser comme un fox terrier gratte aux truffes, vous aurez très vite une panerée de
débarbots et autres
basochards sur le râble qui vous cloueront au poteau de torture du mutisme, à coup de solides émoluments, pour le restant de vos jours.
Ce monde est simplement dégueulasse mais il récolte surtout ce qu'il a semé. Et on n'a encore rien vu.